Le comte et le jardinier
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Cette nuit j'ai fais un rêve insolite, je me suis réveillé encore tout excité, bandant, encore tout émoustillé par la scène que je vais vous raconter…
J'étais dans ce rêve, l'un des jardiniers du hameau de la reine à Versailles.
Dans le potager, en cette journée d'octobre, les dernières récoltes et un nettoyage s'imposaient…
Je me vois, vêtu d'une chemise de lin, d'une culotte marron comme il était d'usage à cette époque, les cheveux sont longs attachés par un ruban noir fin et discret.
Je porte aux pieds des sabots en bois avec une languette de cuir sur le dessus.
Ma journée était terminé, une fine bruine tombait, au loin, des grondements annonçant un orage, s'approchait du château, annonçant des événements inquiétant, nous sommes en 1789, le 5 octobre, le dernier jour de la reine en ces lieux.
Je marchais dans le hameau, pour rentrer dans le logement qui m'était attribué, mon corps étant ruisselant, quand soudain, j'entends un cheval au galop se rapprochant de moi.
Je vis un homme grand, avec un chapeau tricorne noir, une cape sombre de qualité recouvrant son dos qui me paraissait musclé.
Il portait une culotte blanche qui laissait paraître des cuisses tout aussi musclé, munies d'une paires de bottes haute de cavalier en cuir.
Sa chevelure était sombre, son visage assez marqué par une inquiétude, ne laissant transparaître qu'un regard séducteur, je sentais qu'il m'avait repéré depuis un moment, et qu'il me voulait…
Il était sur sa monture, son cheval blanc, détonnait par rapport à son allure sombre.
Soudainement, il se rapprocha de moi m'encerclant, faisant des tours autour de moi, le cheval étant maintenant au pas.
Il me fixait du regard, de son regard, perçant, ses yeux noirs sur moi m'excitait beaucoup…
Étant un simple jardinier aux services de la reine, je ne pouvais engager la conversation avec un noble, il fallait, comme l'usage le voulait à cette époque que la conversation soit engagé par lui.
Je baissais les yeux par respect, envers lui.
Soudain il me dit:
-Bien le bonjour, jardinier!
Et là je découvre sa voix suave forte et sensuelle son accent germanique ne trompe pas, c'est lui, le comte de Fersen, fidèle ami de la reine!
Son allure sportive et militaire sa voix grave me fait bander instantanément.
Il le vit de suite.
-Bonjour monsieur le comte, répondis-je!
-Ou vas-tu?
-je rentre chez moi, monsieur le comte…
Il rétorqua
-viendrais-tu avec moi faire un tour, bougre?
Par ce mot, employé à l'époque pour signifier un homosexuel passif, je compris en un seconde ce qu'il attendait de moi.
Je ne pouvais refuser l'exigence d'un noble, de plus il était l'amant de la reine!
Je lui répondis simplement:
-comme il vous plaira monsieur…
-rejoint -moi à la laiterie!
-très bien, comme il vous plaira, monsieur.
En un instant, il disparut.
La laiterie se trouvait près de l'étang et de la tour de garde factice face à la maison de la reine.
Le hameau était désert.la pluie tombait toujours.
Mes lourds sabots aux pieds, je me rends à la laiterie, devant la porte je frappe trois coups
-entre!dit-il…
Je rentre dans cette pièce particulière, faite de marbre, avec aux murs des tête de boucs en d'où s'écoule des filets d'eau, maintenant une fraîcheur dans la pièce, au centre une table également en marbre blanc servait pour la dégustation des entremets, servit à la reine et à ses ami(es).
Il se tenait de dos, sa cape était ôté laissant voir sa chevelure brune attachée, parcourant son dos, musclé et ses larges épaules, sa chemise blanche recouvrant ses formes, un fessier légèrement bombé moulé par sa culotte.
J'étais très excité à la vu de ses cuissardes…
Ces mains semblait s'agiter, des léger bruit d'eau coulant d'une de fontaine, me faisait deviner qu il faisait une toilette de propreté à son sexe…
Soudain il engagea la conversation
-Alors bougre!me dit-il, aimerais-tu me servir?
Oui monsieur, répondis-je
-je t'ai déjà vu à l'ouvrage, tu ressembles a certains soldats de mon régiment dont j'aime avoir la compagnie quand je suis seul.
-merci Monsieur…
Il se retourna, je vis, sa culotte déboutonnée laissant apparaître un sexe bandant droit avec un gland imposant bien proportionné, une pilosité brune laissant entrevoir ses testicules assez imposante.
Il me dit:
-viens!
Je me rapprochais, il me mit ses deux mains longue et ferme sur mes épaules m'obligeant à me mettre à genoux
-Maintenant, dit-il, montre moi tes compétences, bougre!
J'approchais ma tête et de mes lèvres pulpeuses j'engloutis son gland, puis sa verge, en douceur.
Il prit ses mains les positionnant sur ma tête afin de donner le rythme, je le suçais délicatement.
Il gémissait discrètement, je savais qu'il aimait ça, mais sa pudeur aristocratique et sa rigidité militaire, empêchait de s'exprimer pleinement.
J'étais très excité d'être le bougre d'un tel homme, si sulfureux, et si apprécié par les femmes…
Soudain il me dit:
Jardinier, relève toi, déshabille toi, montre moi ta croupe!
Je m'exécute, j'enlève ma chemise de lin, je déboutonne ma culotte et j'enlève mes sabots, me voilà nu devant lui…il me regarde bandant, sa chemise entre ouverte laissant entrevoir ses pectoraux poilus et saillant.
Je m'avance vers lui, en le regardant d'égal à égal, annonçant les changements à venir dans un futur proche…
Il me dit:
-Ton cul de bougre me donne envie de te trousser fieffé catin!
Je ne réponds pas, je me retourne vers la table de marbre, et me cambre près à m'employer afin de recevoir son membre.
J'entends son crachat, qu'il projette sur son gland épais afin de me pénétrer, il l' enfonce délicatement, je commence à gémir, il entre sa queue totalement, et se fait sentir un va et vient sensuel et direct…
Par sa main droite il me prend par les cheveux, sa main gauche posé sur ma hanche…
Je gémis, pris comme il aime, je suis le bougre du comte de Fersen…
Soudain, il mets sa main sur ma bouche et me dit:
-Silence!catin de bougre!ne sais-tu pas où nous sommes?
Effectivement j'en avais oublié la reine😅
Je gémis discrètement étouffé par sa main, sous ses coups de reins, sentant sa paire de couille claqué contre mes fesses…
J'étais excité, me sentant rabaisser, bougre de catin comme il aimait me le dire…
Soudain, sans crier garde, il se retire, et je l'entends jouir dans un râle étouffé, d'un seul coup mes fesses sont inondées s'de sa semence chaude et épaisse..
-Merci, jardinier pour ton service!, dit-il, ce compliment digne d'un militaire me toucha!il me considère comme un soldat ayant effectué son devoir😏
Je me rhabillais, lui reboutonna sa culotte il remit sa cape et son tricorne, puis il me fit sortir discrètement.
Il me salua, monté, sur son cheval et me dit:
-je sais où te trouver maintenant, il esquissa un léger sourire il hocha la tête pour me saluer légèrement, puis d'un seul coup, il disparu à galop vers le parc du château…
Je marchais quelques pas, quand soudain je rencontre la reine avec un serviteur…
Une révérence s'imposa comme il l'était l'usage de quelques secondes, puis elle m'adressa la parole, elle était tremblante aussi pale que sa robe de mousseline et le bonnet en dentelle qui recouvrait le haut de sa coiffure.
Monsieur, mon jardinier, avez vous vu Monsieur de Fersen?
-Oui votre majesté, il est passé près du parc au galop…
-Merci Monsieur, prenez-soin de mon jardin, le roi me fait appeler au château, la population de Paris marche sur Versailles, me confia t'elle…
Elle disparu en un instant tel un fantôme…
De cette journée d'octobre 1789, qui aurait pu penser ce qui allait arriver par la suite…
Je vous laisse le soin de me laisser vos commentaires si cette histoire vous a plu😊
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hypersensible
5736 km, Passif - SM
publié il y a 17 jours
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