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La veangance du comte

Les années s'étaient écoulées, depuis cet après midi du 5 octobre 1789, le souvenir du comte me hantait, les événements qui suivirent, m'empêchèrent de le revoir.
ma situation avait également bien changé, je n'étais plus le jardinier de la reine au hameau, la famille royale ayant quitté Versailles pour Paris, le château petit à petit à cessé d'être entretenu.
l'arrestation du roi après la journée du 10 août 1792 ainsi que son incarcération à la prison du temple, puis son procès et sa mort, ont jeté sur la france, un souffle de liberté, jusqu'alors jamais connu.
la convention décréta la terreur, les têtes devaient tomber, nous sommes en août 1793, le hameau, jadis, havre de paix, est à présent une gargote loué à un tavernier.
j'étais à présent, après avoir fait mes classes au sein de l'armée, combattu les autrichiens à Valmy, devenu capitaine de la garde nationale à paris.
j'arborais fièrement mon uniforme et ma cocarde sur mon tricorne, ma chevelure longue et soignée, j'étais devenu quelqu'un…
cependant, les délices du souvenir du comte me hantaient.
il était sur la liste des ennemis de la patrie, ayant aidé la famille royale à fuir en juin 1791.
je pensais ne jamais le revoir.de toute façon, depuis tout ce qu'il s'était passé aurait t'il un souvenir de son bougre?
un soir du mois août 1793, après une journée de service, je décidais de sortir me changer les idées…je me rendis au faubourg saint antoine qui depuis le début de la révolution était devenu un lieu incontournable des soirées avec ces nombreux cabarets…
j'avançais donc le pas sûr, vers le faubourg, je fus attiré soudainement par une ruelle sombre et étroite d'où provenait des éclats de voix poussant à la chansonnette.
je décidais donc de me rendre dans cet établissement.
j'entrais quand soudainement, je vis qu'il n'y avait que des hommes, ivres pour certains, je reconnus les soldats de ma garde.
la tenancière s'approcha de moi et me dit:
-Bien le bonsoir citoyen capitaine, que puis-je faire pour toi?
-un pichet et une table s'il te plaît citoyenne!lui répondis -je!
-suis-moi! rétorqua t'elle
j'avançais, dans la salle sombre mal éclairée, au mur des flambeaux aux bougies de suifs dégageaient une odeur désagréable de graisse brûlée, sur les tables, des chandelles de suifs éclairaient les visages de certains soldats me dévisageant de manière insistante, je sentais leurs yeux me scruter et me suivre de façon insistante…
en passant devant une table, je vis deux soldats défroqués se masturbant réciproquement, chacun tenant la queue de l'autre, dans la pénombre pestilentielle de cette odeur, mélangé au vin.
la tenancière, une citoyenne d'une cinquantaine années à la poitrine généreuse vêtue d'un corsage et d'un tablier, arborant sur sa coiffe la concorde républicaine, me plaça à une table près d'un escalier, j'étais en retrait mais je pouvais voir la salle dans son ensemble, et profiter du spectacle.
elle m'apporta un pichet de vin dans une cruche en étain ainsi qu'un gobelet de la même matière.
elle me dit:
-amuse toi! citoyen!
-merci, citoyenne, lui répondis-je
-cela fera 3 sous citoyen !
je lui donnais la somme, elle disparut aussitôt dans la pénombre.
des soldats passaient devant moi en me saluant poliment, ils montèrent les marches de cet escalier, cela me paru étrange, car je ne vis aucune femme dans cette salle, j'observais la pénombre, le brouhaha et je distinguais dans cette beuverie des comportements de bougres, ces soldats se touchant, s'avançant vers moi, pour monter l'escalier, je compris que j'étais dans un bordel, tenu sans doute par une maquerelle.
je décidai en un instant de partir, lorsque tout d'un coup un homme entra, vêtu d'un tricorne noir, une cape sombre, et d'une paire de bottes, sur ses yeux un masque vénitien à long nez, il passait devant la patronne qui ne lui dit rien, j'en conclus, qu'il était habitué…
il s'avança vers l'escalier, et en un instant, je le reconnus, ç'etait lui, axel von fersen!
il s'arrêta devant moi, me fixant de son regard noir et persistant, en un instant je revécu la scène de la laiterie du hameau…
il me dit:
- monsieur le jardinier, vous êtes soldat maintenant ?
-oui, citoyen, lui rétorquais-je!
il prit ma main en une seconde et me dit:
-Viens, ma chambre est en haut!
je le laissai m'emmener dans sa chambre, nous gravirent les marches dans cette pénombre pestilentielle de ces flambeaux aux bougies de suifs, nous arrivâmes sur le palier où se trouvaient des portes, des gémissements, des râles de jouissance, le bruit des lits qui grinçaient me fit comprendre que le comte logeait dans une maison de passe pour bougre…
il me fit entrer dans sa chambre.
c'était une pièce de taille moyenne, l'éclairage était de meilleure qualité, les bougies étaient en cire, une jolie commode en acajou avec des guirlandes arrondies tressées pour les loquets sur les tiroirs, dessus se trouvait une pendule en marbre blanc à colonne antique, un balancier de bronze orné d'un panier de fleurs fonctionnait, deux chandeliers à deux branches de chaque côté donnait un éclairage convenable.
Ce qui me surprit, c'était une disposition particulière de grand miroir au quatre coin de la pièce, de grand miroir en bois doré avec à chaque entête une corne d'abondance, le lit se trouvait au centre de la pièce, un lit avec un fer avec des pomme de pin doré arborant une finition du règne précédent.
les quatre grands miroirs, placer aux quatre extrémités de la pièce donnait une vu plongeante sur le lit, il était également muni de deux chandelles pour éclairer la pièce reflétant la lumière au travers des miroirs.
un fauteuil se trouvait dans le coin, une bergère en velour rouge.
le comte me fit asseoir sur le lit
il me dit:
- alors bougre, de jardinier tu es devenu militaire ?
cette maudite révolution t'a fait pousser des ailes…
et la promesse que tu as fais à la reine de garder le hameau qu'en as tu faites?
-j'ai été chassé, lui répondis-je par la convention…
-tais-toi, bougre d'usurpateur!
il déboutonna sa culotte, sa chemise laissant transparaître son sexe en érection.
je pris ma main et j'empoignai son sexe pour le porter à mes lèvres lorsqu'il me dit:
- tu vas payer catin de républicain!
il me laissa sucer sa verge volumineuse toujours aussi vigoureuse, je le masturbais en le suçant, son regard me transperçait toujours autant, puis il me stoppa net il me releva, il me déshabilla, afin que je sois intégralement nu devant lui…
il m'indiqua de son doigt la table de toilette, sous entendant par son geste humiliant que j'étais sale, puisque j'étais du côté des factieux…
il me regardait, passer l'éponge sur ma croupe, entre ma fente et sur ma verge…
je revins vers lui, il me gifla, je fus stupéfait de son geste, il me retourna me mit à quatre patte, et il saisit mes mains en étant au dessus de moi, il m'attacha avec un lien en cuir..
j'étais à sa merci…excité par sa domination ne sachant pas ce qu'il allait m'arriver …il crachat en un instant sur ma fente, et il introduisit son sexe et il commença le va et vient en me fessant…
ses mains tenant ma croupe il me dominait tel un étalon qu'il avait toujours été…
il était fougueux, il ne me ménageait absolument pas, je gémissais ma tête plaquée contre l'oreiller en plume..
- Petit bougre, dit-il, catin, je vais te prendre!
il me limait sans ménagement, et grâce au système d'éclairage et du jeu des miroirs je pouvais le voir, me voir, nous voir…
d'un seul coup, on frappe à la porte!…
-Entrer!retorqua t'il.
en instant continuant de me limer, je vis dans le miroir face à moi, le citoyen et député Jacques Danton!!!
Ce grand gaillard grand orateur député des montagnards, le sommet actuel de l'état, devant la glace, se masturbant, déboutonnant sa culotte, laissant entrevoir un sexe puissant, dur, large…
Le comte avec sa cape et son masque vénitien à long nez, accompagné de son tricorne n'était pas reconnaissable..
il dit:
- je te laisse la place citoyen!
- Danton répliqua:
-Fait ton oeuvre citoyen!j'attendrai mon tour..
-je te le laisse citoyen! rétorqua le comte…
-il s'enlève de mon orifice déjà bien dilaté par sa fougue, puis il alla s'installer sur la bergère en velours près du lit dans le recoin de la chambre, le jeu extraordinaire des miroirs faisait en sorte que je continuais à le voir…
-Danton, me dit:
-Merci, bougre de ton dévouement !
puis il introduit son sexe large et son gland épais dans mon orifice, qui était, je le compris à cet instant devenu une chatte, un trou, servant à vider…
Danton était réputé pour être un jouisseur, un épicurien, abusant sans modération de la chaire…
il était à son tour en moi, ses va et vient de grand gaillard, laissait entrevoir une force de caractère, me limant à son tour fougueusement, me secouant de la tête aux pieds avec son membre, je regardais le comte en gémissant puis en hurlant de plaisir, il se masturbait en regardant la scène me fixant du regard, je voyais également le citoyen député me regarder entrain de gémir face au miroir…il tenait la cadence me limant, me secouant, se régalant de le faire, le comte se masturbant, tout s'enchaînaient au travers des miroirs…
soudain le grand gaillard s'emballa il sortit sa queue, et en un instant un puissant jet de sperme chaud et visqueux inonda ma croupe jusqu'au milieu de mon dos, danton dans un râle exalté avait joui de sa semence républicaine !
de ses mains imposantes, il massa sur mes fesses sa semence tel un baume guérisseur, jusqu'à ce que tout est disparu…
le comte avait cessé de se masturber, mais il n'avait pas joui…
Danton, dans son aura, reboutonna sa culotte et me dit:
merci bougre soldat, la patrie a besoin de dévoué comme toi pour entretenir le moral de nos soldats!
Je répondis, Merci citoyen, ne comprenant pas réellement à cet instant la teneur de son propos…
il ne refermit pas la porte, en sortant, j'étais toujours nu à quatre patte sur le lit les mains attachées aux barreaux du lit, quand soudain un soldat entra, déboutonna sa culotte, alla près de la table de toilette, se passa un peu d'eau puis s'avança près de ma croupe et il introduisit son membre bandant en moi, me secouant, me faisant gémir, je regardais le comte qui se masturbait à nouveau en me fixant
soudain le troufion jouit, il ne prit pas la peine de sortir son membre, il déchargera dans ma chatte qui était devenue accueillante, un autre lui succéda ivre déversant du vin sur ma croupe, me limant, déchargeant…
plus rien ne comptait pour moi que l'excitation de fersen, se masturbant exciter de me voir humilier et offert à cette république naissante, souillé de ce sperme qu'il considérait infertile non reproducteur, ces soldats me baisant au lieu d'engrosser leurs femmes, laissait à ses yeux péricliter cette infâme république…
les soldats se succédaient, ne les comptant pas, je tenais mon rôle face au comte…
le dernier troufion à me passer dessus, étant bien salace et ivre, me traitant de putain, de chienne à baiser ayant sucer la bite des nobles…
Cela agaça le comte, qui l'empoigna afin de mettre un terme à cette punition…
il le jeta dehors.Il ferma à clé la chambre, mon cul était couvert de foutre ruisselant également le long de mes cuisses, il finit par me dire:
-merci bougre, je t'ai puni de ton infidélité envers à la reine, mais tu t'es montré digne, tu as tenu face à l'assaut comme le font les vrais soldats…je suis fier de toi.
il me dit:personne n'a souillé ta bouche, il déposa un baiser, je ne pu m'empêcher de lui dire:
- comte, je veux finir!
j'allais chercher son sexe dans sa culotte déboutonnée, je le suçais goulûment, il défit mon lien, me m'étant à genoux face à lui, profitant de ce moment intime pour jouir, tout les deux, je sentis son excitation arrivé je décidais d'un seul coup de le masturber pour profiter du spectacle, soudain sa verge expulsa sa semence chaude et épaisse sur mon visage, dégoulinant sur mon menton puis sur le plancher, tellement l'excitation que je lui avait procuré tout au long de cette soirée l'avait excité.
il enleva son masque, sa cape, je le vis enfin…
il me menât délicatement près de cuvette de toilette prenant l'éponge et le savon, il me lavait de mes souillures, puis terminant par mon visage en le caressant…
la pendule sonna 2 coups, il était donc deux heures du matin…
il se mit nu devant moi pour la première fois…je passais à mon tour l'éponge sur son corps et sur son sexe.ce moment très érotique et sensuel nous poussâmes l'un vers l'autre oubliant, rang social, révolution, il me prit dans ses bras, il m'embrassa, et le dit :
- J'ai vibré pour toi dès la première fois où je t'ai vu, bougre en sabot, jardinier !
- Merci comte, moi aussi pour tout vous dire, la laiterie est un souvenir que je n'oublierai pas…
nous passâmes le reste de la nuit enlacé, l'un contre l'autre…il me parlait de la reine, de son projet d'évasion pour elle, de sa vie en suède…
je l'aimais de plus en plus, lui me montra des signes d'affections par ses caresses, j'étais devenu à cet instant un bougre amoureux, ennemi de la nation, puisque j'aimais le comte…
nous nous endormîmes nu l'un contre l'autre…
le matin, l'aurore pointant je devais rejoindre la caserne, je l'embrassais en lui disant, où puis-je vous retrouver?ici?
-oui dit-il, mais je vais te confier une mission…
-de quoi s'agit'il?
rencontrer un diplomate Ottoman qui serait une aide pour l'Autriche…
- où se trouve t'il?
- Chez Robespierre, numéro 398 de la rue saint honoré, je compte sur toi et tes talents de bougre pour convaincre ce diplomate de se rallier à notre cause…
- oui comte, pour vous je le ferai
-merci, mon bougre, je t'en serai reconnaissant et je ferais tout pour t'en remercier…
nous nous embrassâmes fougueusement, puis je quittais la chambre dévalant les escaliers, passant la salle, saluant furtivement la tenancière, sortant, exalté par cette nuit de folie, et cet amour naissant entre le comte et moi laissant présager de cette mission folle qu'il m'avait confié, une excitation, un voyage, émotionnel au travers de ces rencontres à venir…
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hypersensible
39 hypersensible
5736 km, Passif - SM
publié il y a 12 jours
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zZ_PassprBonBit
54 zZ_PassprBonBit
il y a 12 jours
Hyper original et excitant. Hâte de lire le prochain épisode avec Robespierre et l'Ottoman ! BZZzzz
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hypersensible
39 hypersensible
il y a 12 jours
Merci à toi pour ton retour😊il faudra être patient 😉😘
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cgd
48 cgd
il y a 12 jours
C'est très bien écrit... Franchement on s'y projette.... Tu devrais penser à écrire des nouvelles érotiques gays... C'est un plaisir de te lire et très excitant à chaque fois.... Vivement la suite des aventures de ce bougre jardinier-soldat 😋
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hypersensible
39 hypersensible
il y a 12 jours
Merci à toi c'est très gentil, 😊tant que je peux fait plaisir aux lecteurs c'est le principal 😉 La suite est programmé pour bientôt 😊, patience😅😉😘
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Seb-13500
42 Seb-13500
il y a 12 jours
C est beau la loyauté d une lope soumise en laisse …
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HMAN
65 HMAN
il y a 12 jours
Belle histoire, bien sympa et excitante
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hypersensible
39 hypersensible
il y a 12 jours
Merci😊
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eclectic
76 eclectic
il y a 12 jours
Bravo pour votre imagination
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hypersensible
39 hypersensible
il y a 12 jours
Merci à toi pour ton retour 😊
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Gaynat
63 Gaynat
il y a 12 jours
Que d'imagination c'est super ! C'est bien écrit, et le décor est bien en place pour donner des envies !
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hypersensible
39 hypersensible
il y a 12 jours
Merci beaucoup pour ton retour😊😘
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Yankel
53 Yankel
il y a 12 jours
Merci pour ce partage de qualité.
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hypersensible
39 hypersensible
il y a 12 jours
Merci à toi pour m'avoir lu😊
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Weell59
48 Weell59
il y a 12 jours
Félicitations ! J'aime beaucoup l'idée, le style, l'histoire. Et c'est superbement écrit, bravo !… Tu as un nouveau fan.😘
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hypersensible
39 hypersensible
il y a 12 jours
Merci à toi, joli torse😏, merci de me suivre😊
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Amix974
56 Amix974
il y a 12 jours
Si on m'avait appris l'histoire de France par ce biais, je crois que j'aurais été très assidu en cours ! Bravo et merci pour ce superbe récit !
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hypersensible
39 hypersensible
il y a 12 jours
Merci à toi pour ta fidélité et tes compliments 😊😘
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Mec2956
35 Mec2956
il y a 12 jours
Très bien écrit, c'est rare sur le forum. Un vrai plaisir à lire, un jolie roman erotico-historique. Hâte de lire la suite.
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hypersensible
39 hypersensible
il y a 12 jours
Merci c'est très gentil 😊 la suite est prévu pour bientôt 😉
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